dimanche 24 octobre 2010

C'est ce que je pense en lisant ce post. Curieusement.
Le poids de ce qu'on a à faire dans la vie, de tout ce qui nous pèse, et qu'on n'a pas forcément envie de faire.

Et la conséquence, enfin l'effet secondaire actuel, c'est le concept de lâcher-prise. Comment fait-on ?

Comment décide-t-on de lâcher prise, on décide juste, comme cela, et ça se met en place ?

Comment échapper aux influences parfois lourdes de son passé, de son entourage ?

mercredi 11 août 2010

e l'esprit de sérieux, revenons-en. C'est un film avec des monstres dévoreurs dedans, ça ne peut pas être sérieux. Au mieux, The Mist, ça peut-être un bon divertissement (et comme on n'a pas la télé), du genre de ceux qui font dire que la carte illimitée, ça permet d'aller voir des navets en bonne conscience, on s'en fout, ça ou autre chose, c'est gratuit. Dès le début, il y a comme une vitesse d'exécution qui vous dirait que vous n'allez pas voir le film pour lequel vous avez « payé », un plan trop rapide sur la famille parfaite-enfant-unique, qui va forcément se faire dégommer (sauf le gosse) et son voisin noir (qui meurt toujours vite et de mort violente), il y a comme de ces détails qui vous diraient les choses changent par rapport au standard série B (comme bourrins - même si le jeudi soir au Publicis, c'est rempli de golios, ndlr, ouais même plus de limites, ils téléphonent pendant la séance...). Le huis-clos est rapidement fixé, le supermarché un lendemain de tempête, jour de pénurie zombiesque, queue à la caisse, une ville moyenne américaine qui se retrouve dans ses personnalités et ses archétypes (la vieille institutrice qui râle sur les pertes de repères, les militaires de la base du coin qui attendent leur permission, la folle messianique, les locaux qui se connaissent depuis le toujours du « vivre et mourir au pays », les adoptés un peu trop citadins pour être fiables aux yeux du collectif, les employés-médiateurs, etc.).

samedi 26 juin 2010

Pour moi, Déirdre, ça fait jeune fille, fée, personnage mystérieux, sur une île, balayée apr la mer. Du coup, j'aime.

Aux Feuillantines

Mes deux frères et moi, nous étions tout enfants.
Notre mère disait: jouez, mais je défends
Qu'on marche dans les fleurs et qu'on monte aux échelles.

Abel était l'aîné, j'étais le plus petit.
Nous mangions notre pain de si bon appétit,
Que les femmes riaient quand nous passions près d'elles.

Nous montions pour jouer au grenier du couvent.
Et là, tout en jouant, nous regardions souvent
Sur le haut d'une armoire un livre inaccessible.

Nous grimpâmes un jour jusqu'à ce livre noir ;
Je ne sais pas comment nous fimes pour l'avoir,
Mais je me souviens bien que c'était une Bible.

Ce vieux livre sentait une odeur d'encensoir.
Nous allâmes ravis dans un coin nous asseoir.
Des estampes partout ! quel bonheur ! quel délire!

Nous l'ouvrîmes alors tout grand sur nos genoux,
Et dès le premier mot il nous parut si doux
Qu'oubliant de jouer, nous nous mîmes à lire.

Nous lûmes tous les trois ainsi, tout le matin,
Joseph, Ruth et Booz, le bon Samaritain,
Et, toujours plus charmés, le soir nous le relûmes.

Tels des enfants, s'ils ont pris un oiseau des cieux,
S'appellent en riant et s'étonnent, joyeux,
De sentir dans leur main la douceur de ses plumes.

jeudi 17 juin 2010

La lune

ça me rappelle une comptine...

vendredi 11 juin 2010

Dernièrement.

Mes expérimentations culinaires marchent très bien, vraiment. J'ai fait une super brioche.

Téléphoné longuement avec Marie. Ça fait du bien.

J'aime beaucoup internet et je passe beaucoup de temps dessus. Je bloque un peu pour le blog. Mais bon.

mardi 8 juin 2010

Le vent avait chassé la pluie aux larges gouttes,
Le soleil s'étalait, radieux, dans les airs,
Et les bois, secouant la fraîcheur de leurs voûtes,
Semblaient, par les vallons, plus touffus et plus verts !

Je montai jusqu'au temple accroché sur l'abîme ;
Un bonze m'accueillit, un bonze aux yeux baissés.
Là, dans les profondeurs de la raison sublime,
J'ai rompu le lien de mes désirs passés.

Nos deux voix se taisaient, à tout rendre inhabiles ;
J'écoutais les oiseaux fuir dans l'immensité ;
Je regardais les fleurs, comme nous immobiles,
Et mon coeur comprenait la grande vérité !

dimanche 6 juin 2010

Aujourd'hui.

Un bon repas concocté par mon Chéri. En pls, il y a des restes plus que sympas pour demain.

Le grand va partir seul faire la fête avec ses copains. J'aime bien.

J'ai redécouvert Bobby Lapointe et le temps des fleurs.

Il fait beau.

mercredi 2 juin 2010

Il faut maintenir la peau à un pH acide pour à la fois à la protéger des micro-organismes et l'aider à réguler une éventuelle pathologie. Or , les pH des savons et de certains cosmétiques sont basiques! Ce qui d'une part casse cette protection naturelle, et d'autre part peut favoriser certaines maladies de peau.
Ainsi, veiller à garder un pH bas dans ses cosmétiques aide la peau à se rééquilibrer. Ce n'est pas non plus ça qui va faire disparaître tous les problèmes cutanés, mais ça peut au moins les limiter.