lundi 7 mars 2011

Arriverai-je à me remettre de cette trahison ?

C'est le plus dur. Une amitié ancienne, qui me semblait solide : à partir de quel moment a-t-elle commencé à se fissurer ? Quand a-t-on commencer à ne plus crorie en moi ? Quand mes paroles, mes plaintes, ma souffrance, ont-elles comencées à sembler "trop", sont-elles devenues invraisemblables ?

En 1999 je ne crois pas ; ça serait plutôt après. Aux alentours de 2000 ou 2001. Mais je n'ai rien vu.

Il y a eu cette année, en automne, où venus très brièvement en vacances, nous nous sommes faits reprocher de ne pas passer les voir. Mais justement, nous n'étions pas passé aprce que le discours commençait à changer et qu'elle m'agaçait...

Ça met donc la date à 2000. J'ai organisé une fête à ce moment, pour une célébration familiale, il n'est pas impossible que, comme je ne l'ai pas invitée, elle se soit sentie exclue.

Il me semble, rétrospectivement, qu'elle se cherchait peut-être une famille. Certain membre de la famille l'invitait aux célébrations familiales. Moi, quand j'en ai organisé une un peu plus solenelle, je ne l'ai pasf ait. Elle a pu se sentir exclue et se dire qu'en réalité, je n'étais pas tant son amie.

Or, je tentais seulement de séparer les deux univers : l'univers familiale et l'univers amical. Au contraire, elle ne els voyait pas s'exclure : je comprends, mais pour moi, dans ma perception des choses à moi, ils s'excluaient.

Résultat : elle a tenté de se lier avec chaque personne de la famille en dehors de moi et n'a enregistré que des échscs cuisants. Pourquoi ? Parce qu'ils la connaissaient tous, en tant que mon amie, ils y étaient habitués, mais leurs personnalités étaient incompatibles avec la sienne. ELle ne l'a pas vue.

Elle n'a pas vue que le seul lien entre eux et elle... c'était moi. Pas vu que eux seuls, laissés à eux mêmes, ne pouvaient pas du tout s'entendre avec elle. Elle n'a pas vu à quel point j'étais un pont, une passerelle, comme je le suis aussi dans mon boulot.

Son aveuglement, j'ai du mal à le lui aprdonner : elle a fait un raisonnement erroné, certes, mais si elle avait regardé avec "les yeux du coeur", elle l'aurait vu.

Il ya de l'orgueil dans ma tristesse : je sais que je vaux mieux qu'eux, et elle ne l'a pas vu. Elle ne l'a pas vu,c ar elle n'a vu que mon orgueil. L'orgueil, c'est "mal", mais ce n'est pas aprce qu'on a tort d'être fier de soi qu'on n'a pas de quoi l'être.

Je vaux mieux qu'aux car je m'en sors seule. Pas besoin de baton, comme eux. Elle a voulu être leur baton, mais ils sont capricieux et s'ils veulent être aidés, soutenus, c'est par des gens qui leur conviennent.

Cela me fait de la peine pour elle, et en même temps me console (mais c'est méchant) de la savoir à ce point sous estimé par eux. Ils n'ont pas vu tout ce qu'elle était prête à faire pour eux.

Mais c'est stupide de dire cela : avec eux comme avec moi, au fonc, elle voulait le "pouvoir" sur eux : diriger leurs pensées, lerus actes, les influencer doucement, apr ses paroles murmurées. Ils n'ont pas cédé, ils veulent vivre avec des gens qui leur disent ce qu'ils veulent entendre : ils ne sont pas prêts à se laisser bercer de mansonges juste parce qu'on s'occupe d'eux.

Au fond ils sont plus indépendants que moi : moi, j'étais si heureuse de son amitié que je croyais tout ce qu'elle disait. Elle faisait de moi ce qu'elle voulait. C'est eux qui m'ont libéré d'elle.

Voilà : 1. nous sommes amies, elle et moi, elle me parle et ses paroles me convaincent lentement.
2.Confusément cependant, je ne la crois pas et le lui dis, pas très clairement, puis très clairement.
3. Elle n'aime pas entendre la contradiction et va vers eux.
4. Moi je me sens triste de son abandon. J'essaie de la rappeler, de la retenir : rien. Elle fait la morte.
5. Ils l'écoutent, la suivent, se laissent bercer à leur tour, puis agacés s'éloignent.
6.Elle fait des efforts pour les rappeler, els réinviter, mais pas avec moi.
7. Au final toute relation entre nous (elle et moi ou elle et eux ) est fini. J'ai essayé de la retenir, elle n'a pas réagi. Elle a essayéd e les retenir, ils n'ont pas réagi.

mercredi 16 février 2011

J'ai tout inventé pour renverser Saddam Hussein... Et les morts ?